Qui suis-je ?

Je photographie depuis l’âge de 12 ans, mais c'est à 43 ans que j’ai fait le choix fort de transformer cette passion en métier. Je me suis formée à la pratique professionnelle à travers des stages immersifs auprès de photographes reconnus et des formations techniques. J’ai écrit pour Ouest France : une expérience qui a enrichi mon regard d’une approche journalistique.

Je développe un sens humaniste du reportage, nourri de rigueur et d’exigence. Ce qui m’anime : mettre en lumière les ARTS VIVANTS, les gestes, les liens. Je veux travailler pour ceux qui m'intéressent le plus. Ceux qui sont importants dans ma vie, qui me régalent : les musiciens, artisans d’art et producteurs locaux. 

D'où je viens

Née en 1980 au Mans, j’ai grandi à la ferme, au milieu des moutons, framboises, oies, blés, lapins… et de mes trois frères et sœurs. Une enfance riche de nature, de vie et de responsabilités, qui a très tôt façonné mon sens de l’autonomie, de la coopération et de l’initiative.

J’ai exercé pendant 15 ans comme administratrice des ventes, d’abord pour la marque de textile Eden Park à Paris, puis dans le secteur du pneumatique au sein de Profil+ à Alençon et BestDrive au Mans : une véritable force pour la créatrice d’entreprise que je suis.

Musicienne en orchestre depuis plus de 30 ans, je pratiquais la flûte traversière et depuis 5 ans, je poursuis un cursus au conservatoire du Mans en classe de tuba.

Je passe une grande partie de mon temps libre à travailler la musique dans mon garage ou jouer avec l'Harmonie Sainte Cécile de Neuvy-en-Champagne ou le Low Brass avec le Polygone Rouge, basés au Mans.

Mélomane, la musique instrumentale me parle. J'écoute plutôt du classique (particulièrement les grandes symphonies), du funk et de la pop anglaise.

Musicienne

Epouse, mère, polyglotte, cordon-bleu bio et sportive santé, j'ai la main verte et suis de celles qui ne s’ennuient jamais. 

Depuis que je suis en âge de ranger - ce que j’adore, je trie tout ce qui se recycle : les emballages (que j’évite quand c’est possible, d’ailleurs), bouchons de liège, piles, ampoules, etc. Je fais partie de la nature qui m’entoure : elle compose avec moi, et moi avec elle. Normal. Je la respecte par ces gestes simples de tous les jours. Et bien d'autres.

A part ça ?

Photographe mais pas que...

Pour en savoir plus...

Je dessinais, peignais, bricolais ou lisais en permanence pendant l'adolescence... Sauf quand il fallait participer aux activité familiales : équeuter les grands seaux de haricots verts, cueillir les cerises, les framboises, plumer les poulets, cuisiner tous ces produits frais... Ma grand-mère Leboucher disait : "La grande bande, elle fait tout et elle mange tout !

Très tôt, ma mère m'a fait remarquer que j'avais une mémoire photographique et un sens inné de l'observation. "Fais les beaux-arts." m'a-t-elle conseillé, alors que j'avais 18 ans. Je lui ai rétorqué : "Bien sûr que non : il faut être très doué pour en vivre !" Alors, je me suis lancée dans des études de langues & commerce à l'université : anglais et allemand. J'ai adoré !

Aujourd'hui, je n'ai pas de regrets : ma longue expérience administrative est une réelle force pour mon activité d'entrepreneuse.

A l'âge de 12 ans, on m'offre mon premier appareil photo. Depuis, je vis pleinement les évènements de ma vie en les photographiant. C'est là que je me sens à ma place.

Depuis le petit compact argentique qu'on m'a offert, j'ai changé de matériel : désormais, je photographie en numérique. Mais ce que j'ai retenu au fil de mes récentes formations c'est la chose suivante  : le matériel ne fait pas la qualité du photographe, même s'il y contribue en partie.

En 2024, je décide de me former pour devenir photographe professionnelle. Mon projet ? Mettre en lumière les ARTS. Pourquoi ? Parce que c'est ce qui compte dans ma vie. A commencer par la musique.

La photographie : ma nature

Cette rubrique va s'enrichir dans le temps. Patience !

Liberté, qualité, confiance, sérieux, concret : ces valeurs me guident aussi bien dans ma pratique photographique que mon positionnement d’entrepreneuse.

Adhérente à la FFPMI (Fédération Française de la Photographie et des Métiers de l’Image) pourquoi ? Le métier de photographe est un métier solitaire. Je ne considère pas mes confrères comme des concurrents mais comme des collègues. La FFPMI m'offre un cadre de travail vertueux.

J’inscris mon activité dans une démarche éthique, écologique et responsable : matériaux durables (et sans pétrole ou quasiment), déplacements mutualisés, recyclage rigoureux… je choisis chacun de mes prestataires en fonction de leur engagement environnemental véritable. 

Depuis longtemps, je donne personnellement à AMNESTY INTERNATIONAL et SOS Villages d’Enfants. C'est décidé depuis la rédaction de mon business plan : ma société leur versera ses bénéfices.

Mes valeurs fondamentales